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 Candidature Ydille Lledonis

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2 participants
AuteurMessage
Ydille_Lledonis
Infirmière
Infirmière
Ydille_Lledonis


Nombre de messages : 17
Date d'inscription : 05/10/2012

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MessageSujet: Candidature Ydille Lledonis   Candidature Ydille Lledonis Icon_minitimeLun 8 Oct - 9:17

Nom :
Lledonis
Prénom :
Ydille
Âge :
26 ans
Race :
Humaine

Physique avant :
Cela a-il la moindre importance? de toute façon, elle ne s'en souviens plus... avant le pensionnat, avant l'hôpital psychiatrique, après tout cela... Il paraîtrait qu'elle y serait né... alors vous voyez que cela n'a aucune importance.
Physique après :
Je pensais avoir élucidé la question... mais ce que je peux vous dire, c'est ce à quoi elle ressemble aujourd'hui : c'est à s'y méprendre, mais elle a le physique d'une fillette de 14 ans : une poitrine plate, des fesses menues, des jambes fragiles, des bras graciles et les articulations noueuses. Son visage, lui est désespérément commun quoi qu'assez anguleux il faut le dire. En tout cas elle n'as pas un physique à justifier de son âge.
Caractère :
Changeant... c'est le moins que l'on puisse dire. mais je vous laisse le soin de le découvrir par vous même.
Enfance :
Son enfance... tragiquement toujours le même rituel quotidien... mais laisser moi vous conter :

La vie d’Ydille fut celle d’une enfant comme il en vit des milliers dans les rues de nos Capitales Européennes. La demeure familiale était celle de toute autre avec ses hauts et ses bas, mais restait un nid où l’amour était omniprésent, des parents aimant et qui la poussait à se dépasser, un grand frère aimant –même s’il est vrai qu’il n’était très démonstratif, un Husky aux yeux bleu saphir dont le grain de folie faisait son charme –et autant dire qu’il avait un charme fou ! Elle allait maintenant à la faculté pour suivre ses cours de psychologie et elle s’y était faite des amies et des amis, même s’il est vrai qu’elle avait un peu de mal avec les garçons de son âge.
Comme une jeune femme des plus ordinaires, elle avait un hobby particulier qui lui prenait beaucoup de son temps libre, la danse. Non pas qu’elle prenait des cours, mais en se déplaçant en musique elle pouvait interpréter un personnage, qui selon l’humeur répondait à ses pulsions, ses émotions du moment.
Comme beaucoup de jeune femme, elle trouva l’amour et se maria à lui… comme beaucoup de femme ils eurent des enfants pour lesquels elle aurait donné sa santé, sa vie… Comme beaucoup de couple les deux amants s’aimaient et vieillir ensemble en éduquant leurs petits du mieux qu’ils purent… comme beaucoup d’enfants maintenant adulte, les parents d’Ydille moururent et elle porta le deuil des semaines, des mois durant… Comme des enfants ordinaires, les enfants d’Ydille et de son mari quittèrent le foyer familial pour aller à leur tour conquérir la vie… Comme beaucoup de parents, Ydille et son mari devinrent grands-parents… et comme beaucoup d’histoires de la vie, celle de notre couple s’éteignit dans l’amour et la sérénité du cocon que les enfants bâtirent pour eux.

Effectivement, cela aurait été une belle histoire, mais à quoi bon rêver ? La vie d’Ydille fut bien différente… au combien différente.

C’est une caresse qui l’a fit émerger du rêve de cette vie qu’elle aurait pu vivre, la caresse d’une larme qui court le long de sa joue pour aller se perdre à la commissure de ses lèvres ; s’en suivi ce goût légèrement salée qu’elle connaissait si bien. Ces premiers soupçons de conscience se suivirent par la sensation agréable d’être allongée sur un matelas confortable.
Ce sentiment de confort s’évanouit quand sa conscience s’étendit encore… ses bras et ses jambes étaient entravés, solidement sanglés. Une bouffée d’angoisse la pris d’un coup et elle se débâti avec toute la rage de son désespoir, mais les liens tinrent bons malgré les assauts violents de la jeune fille. D’ailleurs, il lui semblait que plus elle se débattait plus ses entraves se resserraient… et cette idée-là, la rendit folle.
La transition fut très rapide, et son comportement d’adolescente apeurée se changea brusquement en celui d’une furie. Dans un long râle elle se mit à convulser violemment, le lit tremblait sous ces assauts implacable jusqu’à se déplacer sous l’inertie des mouvements abruptes de l’adolescente en transe. Intérieurement, tout était confus. Une tornade d’images qu’elle ne pouvait analyser se bousculaient dans son esprit à tel point que sa tête allait exploser sous la douleur de cette pression ; elle ressentait peur, angoisse, incompréhension, frustration… et une incroyable rage ; sans compter sur cette voix indépendante d’elle, qu’elle n’avait pas entendu jusqu’ici et qui se mit à cracher des insultes de manière irraisonnée et qui accentuait encore sa confusion, sa peur, sa frustration… sa rage.
Ce ne fut qu’au moment où une fatigue soudaine la pris qu’elle prit soudain conscience qu’elle se trouvait bloquée sous la masse de quatre blouses blanches qui la maintenait fermement contre son lit et l’empêchant de bouger, ainsi que d’une cinquième dont elle n’eut le temps d’apercevoir qu’une main gantée tenant une seringue, puis… elle sombra dans un sommeil.
Elle se réveilla avec un mal de crâne qui semblait venir d’une lumière blanche et intense qui semblait se refléter sous tous les pans de murs blancs de la salle immaculée, dans laquelle elle s’était réveillée. Pas encore très bien réveillée - une cacophonie de bruits métalliques venant de partout dans la pièce résonnait, accentuant ainsi son mal de crâne et son sentiment d’impuissance – un sentiment d’angoisse l’envahie : elle était encore attachée, mais cette fois-ci elle ne portait qu’une de ses blouses de patients en papier et qui ne dissimulait rien et bien entendu rien en dessous.
Son angoisse s’évanouit peu à peu. Elle laissa sa place à cette rage que l’adolescente connaissait bien mais, là, rien n’y fit : elle ne pouvait se débattre car, sanglée très fermement aux poignets, aux chevilles, à la taille et à la poitrine, elle semblait ne faire qu’un avec la table.
C’était là le quotidien d’Ydille, qui se débattait tant bien que mal pour survivre et garder un soupçon de contrôle sur son esprit mis à mal.

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c'est déjà pas mal, non? en tout cas pur fruit de mon imagination.
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Envy
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MessageSujet: Re: Candidature Ydille Lledonis   Candidature Ydille Lledonis Icon_minitimeLun 8 Oct - 9:57

Bienvenue, tu peux poster ^^
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